Lyofal – L'Actualité Business et les Solutions pour Entreprises https://lyofal.fr Tue, 11 Nov 2025 07:22:11 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.8.3 https://lyofal.fr/wp-content/uploads/2025/07/cropped-company_lyo-32x32.png Lyofal – L'Actualité Business et les Solutions pour Entreprises https://lyofal.fr 32 32 10 idées de business B2B à lancer avec peu de budget https://lyofal.fr/10-idees-de-business-b2b-a-lancer-avec-peu-de-budget/ https://lyofal.fr/10-idees-de-business-b2b-a-lancer-avec-peu-de-budget/#respond Tue, 11 Nov 2025 06:54:27 +0000 https://lyofal.fr/10-idees-de-business-b2b-a-lancer-avec-peu-de-budget/ Continuer la lecture

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Tu veux te lancer dans le B2B, mais sans exploser ton compte en banque dès le départ ? Bonne nouvelle : il y a plein d’idées de business qui ne demandent pas un gros investissement. Pas besoin d’un local, ni d’une équipe de dix personnes. Juste un bon sens du marché, un laptop et un peu d’audace.

Franchement, le B2B, c’est un terrain de jeu encore sous-exploité. Beaucoup de gens se jettent sur le e-commerce grand public, alors qu’il y a des entreprises prêtes à payer – et souvent bien – pour de vraies solutions. Si tu veux creuser les tendances, le site https://infonegoce.fr partage pas mal d’infos utiles sur les opportunités du négoce et les modèles qui marchent vraiment en 2025.

1. Agence de prospection commerciale freelance

Les PME galèrent souvent à trouver de nouveaux clients. Si tu as la tchatche et un bon sens du contact, propose-leur tes services de prospection. Tu peux bosser à distance, utiliser LinkedIn ou des outils comme Lemlist ou HubSpot. Investissement de départ ? Ton ordinateur et un abonnement à un bon outil d’emailing. Rentable très vite.

2. Création de contenu B2B (rédaction, vidéo, posts LinkedIn)

Les entreprises veulent exister en ligne, mais elles manquent de temps et d’inspiration. Si tu sais écrire, raconter ou filmer, c’est un business ultra demandé. Tu peux proposer des packs de contenus mensuels, avec un abonnement récurrent. C’est ce qu’on appelle un “revenu tranquille” quand ça tourne bien.

3. Consultant en automatisation

Tu connais Zapier, Make (ex-Integromat) ou Notion ? Alors tu peux aider les entreprises à gagner un temps fou. Automatiser une prise de rendez-vous, une facturation, ou un suivi client, ça vaut de l’or pour une PME. Et ça ne te coûte rien à lancer, juste de la pratique et un bon portfolio.

4. Formations et ateliers en ligne pour pros

Beaucoup de salariés et d’entrepreneurs cherchent à se former en soft skills, en vente ou en marketing digital. Si tu maîtrises un sujet, monte une mini-formation en ligne. Même un simple Google Meet avec 10 participants à 80€ la session, ça fait déjà une base de business propre et scalable.

5. Revente de leads qualifiés

C’est un business méconnu mais redoutable : tu génères des contacts qualifiés via des campagnes ciblées (pubs, formulaires, SEO), puis tu les revends à des entreprises. Le secret, c’est de bien choisir ta niche : BTP, énergie, services RH, peu importe. Ce modèle tourne très bien si tu comprends les besoins du marché.

6. Gestion d’e-réputation pour dirigeants

Beaucoup de chefs d’entreprise n’ont aucune idée de ce qui ressort sur Google quand on tape leur nom. Et certains ont des surprises. Si tu sais gérer les avis, créer du contenu positif et nettoyer les résultats, tu tiens une offre premium. Et crois-moi, ils sont prêts à payer cher pour ça.

7. Studio de branding minimaliste

Les petites boîtes veulent une image pro, sans passer par une agence à 10 000€. Si tu maîtrises Canva, Figma ou Illustrator, tu peux proposer des identités visuelles propres et rapides. Tu bosses de chez toi, tu fais du sur-mesure, et tu peux même vendre des packs “logo + charte + site vitrine”.

8. Micro-agence de social media B2B

Le contenu LinkedIn explose. Mais la plupart des dirigeants ne savent pas quoi poster. Tu peux créer des offres simples : rédaction de posts, planification, reporting. C’est léger à lancer, très demandé, et souvent facturé à plusieurs centaines d’euros par mois.

9. Assistant virtuel pour TPE

Facturation, mails, relances, tableaux Excel… Beaucoup de dirigeants de petites boîtes n’ont pas le temps de tout gérer. Tu peux devenir leur bras droit digital. Aucun diplôme nécessaire, juste de la rigueur et de la discrétion. Et comme tout est à distance, ton seul investissement, c’est ton temps.

10. Courtier en services professionnels

Tu fais le lien entre des entreprises et des prestataires (imprimeurs, transporteurs, agences, etc.). Tu gagnes une commission à chaque mise en relation. C’est un business de réseau et de confiance, parfait si tu aimes connecter les gens. Et avec le bouche-à-oreille, ça peut vite devenir une vraie machine à cash.

En résumé

Lancer un business B2B avec peu de budget, c’est carrément faisable en 2025. Le secret, c’est de partir d’un besoin concret, de proposer une vraie valeur et d’y aller étape par étape. Pas besoin d’un gros capital, juste d’un peu de culot et de persévérance. Le marché B2B est vaste, exigeant, mais ultra porteur pour ceux qui savent s’y prendre. Alors, t’as repéré ton idée ?

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Comment financer son entreprise en 2025 : les options les plus efficaces pour les entrepreneurs https://lyofal.fr/comment-financer-son-entreprise-en-2025-les-options-les-plus-efficaces-pour-les-entrepreneurs/ https://lyofal.fr/comment-financer-son-entreprise-en-2025-les-options-les-plus-efficaces-pour-les-entrepreneurs/#respond Fri, 07 Nov 2025 13:04:54 +0000 https://lyofal.fr/comment-financer-son-entreprise-en-2025-les-options-les-plus-efficaces-pour-les-entrepreneurs/ Continuer la lecture

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Créer ou développer une entreprise, c’est un peu comme partir en road trip sans savoir si le plein d’essence tiendra jusqu’à la prochaine station. L’idée est là, la motivation aussi, mais sans carburant financier… le moteur cale vite. Et en 2025, trouver le bon financement, c’est devenu un vrai sport. Les banques sont prudentes, les aides publiques changent tous les six mois, et les plateformes en ligne se multiplient à vitesse grand V. Alors, comment s’y retrouver ? Parlons concret.

1. Le crédit professionnel : toujours une base solide (si bien préparée)

Franchement, le prêt pro reste un incontournable. Oui, c’est classique, mais ça marche toujours. Le secret, c’est le dossier. Les banques veulent du concret : un business plan réaliste, des chiffres cohérents, une vision claire. Si ton plan financier tient la route, tu peux négocier un prêt avec un bon taux.

Petit conseil : compare avant de foncer. Des acteurs spécialisés comme [https://nord-credit.fr](https://nord-credit.fr) te permettent de trouver des offres de financement adaptées à ta situation, sans y passer des semaines. Et croyez-moi, éviter dix rendez-vous bancaires pour entendre le même discours, c’est un vrai gain de temps.

2. Les aides publiques et subventions : un vrai coup de pouce, mais faut creuser

Les dispositifs d’aides évoluent sans arrêt. Entre les subventions régionales, les programmes de Bpifrance et les appels à projets, il y a de quoi s’y perdre. Pourtant, c’est souvent là que dorment des milliers d’euros.
Tu veux un exemple ? En 2025, certaines régions proposent encore des aides pour la transition numérique, l’embauche du premier salarié ou les projets écologiques. Le souci, c’est que ces infos sont souvent planquées dans des PDF de 30 pages sur des sites institutionnels… pas sexy, mais rentable si tu prends le temps.

3. Le financement participatif : faire financer son idée par la communauté

Crowdfunding, crowdlending, equity… ces mots te disent quelque chose ? C’est normal, c’est devenu courant. Ce type de financement, c’est l’option “communautaire” : tu présentes ton projet, tu convaincs, et les gens te soutiennent financièrement.
Les plateformes comme Ulule, KissKissBankBank ou Tudigo ont permis à des centaines de projets de décoller. Et l’avantage, c’est que tu crées une communauté avant même de lancer ton produit. En revanche, ça demande une vraie préparation : storytelling, visuels, vidéos, communication. Pas juste un bouton “donate”.

4. Les business angels et investisseurs privés : pour les projets ambitieux

Tu veux viser haut ? Cherche un investisseur privé. Les business angels ne financent pas que les startups de la tech. En 2025, beaucoup de cadres ou anciens dirigeants misent sur des projets concrets : artisanat haut de gamme, innovation locale, circuits courts…
Mais attention : ils ne donnent pas de l’argent “gratuit”. En échange, ils prennent des parts. C’est un partenariat stratégique. Si tu veux garder le contrôle, réfléchis bien avant d’ouvrir ton capital.

5. Le leasing et le crédit-bail : financer sans immobiliser

C’est une option souvent sous-estimée. Le leasing permet d’utiliser un équipement (machine, véhicule, matériel informatique) sans l’acheter immédiatement. Tu payes chaque mois, et à la fin, tu décides si tu veux l’acquérir.
C’est malin, surtout pour les jeunes boîtes qui doivent préserver leur trésorerie. Et niveau comptabilité, c’est souvent plus souple qu’un prêt classique.

6. L’autofinancement : la voie la plus exigeante, mais la plus libre

Certains entrepreneurs choisissent de se débrouiller seuls. Ils réinvestissent chaque euro gagné, bossent avec leurs moyens, parfois sans se payer pendant des mois. C’est dur, oui. Mais c’est aussi une liberté incroyable.
Tu n’as pas de comptes à rendre, pas de dettes, pas d’investisseur à convaincre. L’inconvénient, c’est la lenteur du développement. Mais pour certains profils – artisans, freelances, petites structures – c’est un choix cohérent.

7. En 2025, la clé c’est la combinaison

Aujourd’hui, les meilleurs montages financiers ne reposent pas sur une seule source. Un peu de prêt pro, une subvention régionale, un micro-crowdfunding pour tester le concept, et hop, tu tiens ton mix.
Le financement, ce n’est plus juste “banque ou pas banque”. C’est une stratégie globale, à ajuster selon la taille du projet, la saison et même la conjoncture.

Alors, tu veux lancer ton business cette année ? Commence par une chose : évaluer ton vrai besoin financier. Pas celui que tu “espères”, celui que ton plan exige. Ensuite, regarde les options. Et surtout, ne te décourage pas si la première porte se ferme – souvent, la bonne est juste à côté.

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Comment choisir le statut juridique idéal pour son entreprise en 2025 https://lyofal.fr/comment-choisir-le-statut-juridique-ideal-pour-son-entreprise-en-2025/ https://lyofal.fr/comment-choisir-le-statut-juridique-ideal-pour-son-entreprise-en-2025/#respond Mon, 22 Sep 2025 14:03:48 +0000 https://lyofal.fr/comment-choisir-le-statut-juridique-ideal-pour-son-entreprise-en-2025/ Continuer la lecture

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Créer une boîte, c’est excitant. Mais dès que tu te lances dans les papiers, bam, la grande question arrive : quel statut juridique choisir ? Et franchement, ce n’est pas juste une formalité. C’est une décision qui peut te suivre pendant des années, avec des impacts directs sur tes impôts, ta protection perso et même la manière dont tu bosses au quotidien.

Quand j’ai accompagné un ami qui lançait son activité de conseil à Lyon, je me suis rendu compte à quel point les options sont nombreuses, et parfois un peu casse-tête. Tu peux jeter un œil à https://accueilaffaires.fr pour trouver d’autres infos utiles, mais ici je vais t’expliquer de manière claire les principaux choix possibles, avec leurs avantages et leurs limites.

Les grands classiques : micro-entreprise, SASU, EURL

Micro-entreprise : ultra simple à créer, démarches rapides, charges sociales calculées sur ton chiffre d’affaires. Parfait si tu testes une idée ou si tu veux un revenu complémentaire. Mais attention : plafonds de chiffre d’affaires assez bas (188 700 € pour les activités de vente, 77 700 € pour les services en 2025). Et surtout, pas de distinction entre ton patrimoine perso et pro. En clair, si ça tourne mal, tu peux être exposé.

SASU : là, on entre dans du plus sérieux. Idéale pour ceux qui visent de la croissance, des investisseurs, ou qui veulent un statut plus crédible vis-à-vis des partenaires. Le dirigeant (président) est assimilé salarié : meilleure protection sociale qu’en micro ou EURL, mais charges plus lourdes. J’aime bien ce format parce qu’il offre une flexibilité énorme pour faire entrer des associés plus tard.

EURL : c’est la petite sœur de la SARL mais avec un seul associé. Tu es gérant majoritaire, affilié au régime des indépendants, donc cotisations sociales moins élevées qu’en SASU, mais protection aussi plus limitée. Ça peut être un bon compromis si tu veux optimiser ton revenu net dès le départ.

Des choix stratégiques à faire dès le départ

La question que tu dois vraiment te poser : c’est quoi ton projet à 2 ou 3 ans ? Si tu veux juste tester une idée sans prise de tête, la micro-entreprise est imbattable. Mais si tu vises déjà à lever des fonds ou embaucher, fonce plutôt sur une SASU. L’EURL peut séduire si tu veux rester solo mais avec une vraie structure.

Autre point clé : la fiscalité. En SASU, tu peux choisir l’IS (impôt sur les sociétés) et te verser des dividendes. En micro, tu es imposé direct sur ton CA, sans pouvoir déduire tes frais. Et crois-moi, ça change tout quand tu commences à avoir pas mal de charges (ordi, déplacements, sous-traitance…).

Quelques exemples concrets

– Julie, graphiste freelance à Marseille : elle a commencé en micro pour tester le marché. Deux ans plus tard, dépassant le plafond, elle est passée en SASU pour pouvoir déduire ses frais de matériel et facturer de plus gros clients.

– Karim, boulanger qui voulait ouvrir sa deuxième boutique à Toulouse : il a choisi l’EURL. Pourquoi ? Parce que ça lui permettait de garder le contrôle, limiter ses charges sociales et réinvestir ses bénéfices dans son business.

Mon conseil final

Ne choisis pas ton statut à la va-vite. Pose-toi, projette ton activité à moyen terme, et regarde aussi ta situation perso (est-ce que tu veux une bonne couverture sociale ? est-ce que tu prends des risques financiers ?). Perso, je trouve que la micro-entreprise est top pour démarrer, mais dès que tu vois plus grand, SASU ou EURL deviennent vite plus adaptées.

Et si tu hésites encore, n’hésite pas à consulter un expert-comptable. Oui, ça coûte un peu, mais ça t’évite des erreurs qui peuvent te coller aux basques pendant des années. Tu veux avancer, pas te prendre la tête avec les papiers, non ?

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Statut auto-entrepreneur : avantages, limites et alternatives à connaître https://lyofal.fr/statut-auto-entrepreneur-avantages-limites-et-alternatives-a-connaitre/ https://lyofal.fr/statut-auto-entrepreneur-avantages-limites-et-alternatives-a-connaitre/#respond Tue, 22 Jul 2025 16:37:21 +0000 https://lyofal.fr/statut-auto-entrepreneur-avantages-limites-et-alternatives-a-connaitre/ Continuer la lecture

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C’est souvent le premier réflexe quand on veut se lancer en solo : “Tiens, et si je devenais auto-entrepreneur ?” Franchement, c’est tentant. Simple, rapide, pas cher. Un peu comme une carte SIM prépayée du business. Mais est-ce que c’est vraiment fait pour tout le monde ? Pas sûr. Je t’explique tout, avec les bons côtés, les moins bons… et les autres options à considérer.

Les (vrais) avantages du statut auto-entrepreneur

On va pas se mentir : le statut d’auto-entrepreneur (ou micro-entrepreneur, c’est pareil) a des arguments solides. Le premier, c’est sa simplicité. Pas besoin d’un bac+5 en compta pour s’y retrouver. Une inscription en ligne sur le site de l’Urssaf, et boum, t’es en activité. En 24h parfois. C’est ce que j’ai fait, un soir de janvier, en pyjama devant Netflix.

Côté charges, c’est tout aussi clair : un pourcentage fixe sur ton chiffre d’affaires. Pas de TVA à facturer (tant que tu restes sous les seuils), pas de bilan comptable obligatoire. Tu encaisses, tu déclares, tu paies. Fini.

Et puis il y a la flexibilité. Tu veux tester une idée ? Proposer un service le week-end ? C’est parfait. Même les étudiants, les retraités ou les salariés peuvent cumuler ce statut avec leur activité principale.

D’ailleurs, si tu veux voir comment s’y prennent les autres, jette un œil à ce site ultra utile : https://www.communaute-auto-entrepreneur.fr. T’y trouveras des retours d’expérience, des conseils bien sentis, et une vraie communauté qui partage les galères comme les réussites.

Mais bon… ce n’est pas non plus le graal

Autant être franc : le statut a ses limites. Et elles ne sont pas toujours évidentes au début.

Déjà, le plafond de chiffre d’affaires. Si tu es en prestation de services, tu dois rester sous les 77 700 € (en 2025). Ça paraît beaucoup ? Peut-être. Mais si tu bosses à temps plein avec des tarifs corrects, tu risques d’y arriver plus vite que prévu. Et là, tu dois basculer vers un autre statut, souvent plus complexe.

Ensuite, il y a l’absence de déduction de charges. Tu bosses depuis un coworking à 300 € par mois ? Tu achètes du matos, tu prends des formations ? Tu ne peux rien déduire. Ce que tu gagnes, c’est ce sur quoi tu paies des cotisations. Point.

Et puis la couverture sociale, c’est pas la folie. Oui, t’es affilié à la sécurité sociale des indépendants. Mais t’as intérêt à te renseigner sur la prévoyance, la retraite ou la mutuelle. Parce qu’en cas de coup dur, t’es loin du confort d’un CDI.

Alors, quelles alternatives si tu veux aller plus loin ?

Tu sens que ton projet prend de l’ampleur ? Que tu veux embaucher, ou bosser avec des grosses boîtes qui te demandent un n° de TVA ? Là, faut peut-être envisager autre chose.

1. L’EURL (ou SASU)
C’est la version solo d’une vraie société. Oui, c’est plus lourd à créer. Oui, il y a de la paperasse. Mais tu gagnes en crédibilité, en possibilités de déductions, et en choix pour ta protection sociale. Perso, j’ai basculé en SASU quand j’ai dépassé les 60K, et franchement, je ne regrette pas.

2. Le portage salarial
T’as envie d’indépendance, mais pas des tracas admin ? Regarde le portage. T’es salarié d’une boîte de portage, tu factures tes clients, et ils te versent un salaire. C’est plus cher, certes. Mais pour certains, c’est la paix de l’esprit.

3. La coopérative d’activité
Moins connue, mais super intéressante. Tu bosses sous le toit juridique d’une coopérative, tu gardes ton autonomie, mais t’as une structure derrière toi. C’est un peu comme une coloc du freelancing, avec un cadre sécurisant.

Alors, on y va ou pas ?

Honnêtement, si tu veux tester une idée, faire tes premières missions, ou arrondir tes fins de mois : go. L’auto-entreprise reste un super tremplin. Mais si tu veux construire quelque chose de plus solide, ou que tu dépasses les limites du statut, prends le temps de te poser. De comparer. D’en discuter avec un comptable, ou même un autre freelance.

Parce que la liberté, c’est génial. Mais encore faut-il choisir le bon cadre pour en profiter.

Et toi, t’en es où dans ton projet ? T’as déjà testé le statut d’auto-entrepreneur, ou tu cherches encore la meilleure solution ?

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Financement d’entreprise : les aides méconnues à activer en 2025 https://lyofal.fr/financement-dentreprise-les-aides-meconnues-a-activer-en-2025/ https://lyofal.fr/financement-dentreprise-les-aides-meconnues-a-activer-en-2025/#respond Sun, 06 Jul 2025 23:38:09 +0000 https://lyofal.fr/financement-dentreprise-les-aides-meconnues-a-activer-en-2025/ Continuer la lecture

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On entend toujours parler des mêmes aides : PGE, Bpifrance, aides régionales classiques… OK. Mais en 2025, il existe tout un tas de dispositifs un peu planqués, parfois locaux, parfois sectoriels, qui peuvent vraiment faire la différence. Et franchement, c’est souvent ceux-là qu’on ne regarde même pas.

Si vous avez un projet en cours, une entreprise à faire grandir ou juste une envie de vous dégager un peu d’oxygène financier, ce tour d’horizon peut vous être bien utile.

Les aides oubliées… parce qu’elles ne crient pas fort

Oui, certaines aides sont peu visibles. Pas parce qu’elles sont inutiles, mais parce qu’elles ne sont pas portées par les grosses structures qu’on voit partout.

Prenons par exemple le **FISAC**. Ça vous dit quelque chose ? Perso, je l’ai découvert en parlant à une commerçante à Albi. Elle venait d’obtenir une subvention pour refaire sa vitrine et sécuriser son local. C’est un dispositif pour soutenir le commerce de proximité… et il est encore actif dans certaines zones. C’est local, c’est pas connu, mais c’est du concret.

Aides territoriales : un vivier trop peu exploré

Chaque région, chaque département, parfois même chaque commune a ses propres aides. Et ce n’est pas qu’un “bonus” : certaines entreprises se financent quasi entièrement par ce biais au lancement.

Par exemple, la région Bretagne propose en 2025 une prime spécifique aux PME qui investissent dans l’économie circulaire. La Nouvelle-Aquitaine, elle, cofinance des projets de transition numérique à hauteur de 50 % sur certaines dépenses.

Ces aides ne sont pas toutes centralisées, donc il faut fouiller un peu. Une recherche ciblée avec “aides + nom de votre région + 2025” peut déjà faire émerger des choses intéressantes.

Aides à l’innovation… même pour les petites boîtes

On pense souvent que l’innovation, c’est pour les grosses startups. Faux. Il existe plein d’aides destinées à des projets très concrets, même dans une petite entreprise artisanale.

Un exemple ? Le **Crédit Impôt Innovation (CII)**. Il est bien moins connu que le CIR, mais plus accessible. Il peut couvrir jusqu’à 20 % des dépenses d’innovation (et pas que de la R&D ultra-technique). Ça peut être du design, une amélioration produit, un nouveau process… Tant que c’est nouveau pour le marché.

Autre option intéressante : le programme **i-Nov** (géré par Bpifrance), qui subventionne jusqu’à 45 % des projets portés par des PME. Si vous avez une idée ambitieuse à creuser, ça vaut vraiment le détour.

Les aides à l’embauche trop souvent ignorées

En 2025, certaines aides à l’emploi sont reconduites… mais avec des conditions un peu ajustées. Par exemple, les **aides pour l’embauche de jeunes de moins de 26 ans** existent toujours dans certains secteurs, mais elles sont moins visibles qu’en période post-COVID.

Idem pour l’alternance : la prime à l’embauche d’un apprenti est encore disponible dans de nombreuses branches, avec un bonus pour les entreprises de moins de 250 salariés. Et ça, c’est loin d’être négligeable : jusqu’à 6000 € par contrat.

Les aides spécifiques aux transitions : numérique, écologique, énergétique

C’est LE sujet du moment. En 2025, si vous investissez dans la décarbonation, dans la cybersécurité ou dans l’optimisation énergétique de vos locaux, vous avez clairement des cartes à jouer.

Le **Fonds chaleur** de l’ADEME, par exemple, peut financer une partie de vos installations si vous passez à la biomasse ou à la géothermie. C’est technique, certes, mais certaines PME industrielles en profitent déjà.

Autre piste : le **chèque numérique** pour les TPE, qui est revenu dans certaines régions pour accompagner les entreprises dans la mise en place de logiciels ou d’outils collaboratifs.

Alors, on fait quoi avec tout ça ?

Déjà, ne pas rester seul. Parler à votre **CCI**, à un **réseau local d’entrepreneurs**, ou à un **conseiller Bpifrance**, ça peut débloquer des choses auxquelles vous n’auriez même pas pensé.

Ensuite, prenez une demi-journée pour lister ce que vous avez prévu cette année : recrutements, investissements, nouveaux outils, développement d’un produit, déménagement, formation… et regardez ligne par ligne s’il n’existe pas une aide correspondante.

Perso, je recommande aussi de créer un petit tableau de suivi : source de l’aide, conditions, montant possible, deadline. Parce que ces dispositifs ont souvent des fenêtres très courtes.

En résumé

Oui, le financement d’entreprise en 2025 passe encore par des canaux classiques. Mais si vous allez un cran plus loin, vous pouvez activer des leviers insoupçonnés. Ce n’est pas magique, il faut creuser un peu, mais l’effort est clairement rentable.

Alors, vous avez prévu quoi pour votre entreprise cette année ? Et s’il existait une aide pour ça… vous iriez la chercher ?

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